Ahmed (Achamlane) rêvait de tuer des juifs et des mécréants, Mohamed (Merah) l’a fait. Des pères de souche européenne géniteurs de tels enfants n’auraient-ils pas été effondrés, leur vie brisée, torturés par la question de comprendre pourquoi leur fils a commis ou se préparait à commettre l’irréparable.

Mais tel n’est pas le raisonnement de ces pères musulmans l’un affirmant que son enfant n’est pas antisémite, l’autre voulant poursuivre l’Etat français parce qu’il a tué son fils alors que tout dans leurs intentions ou dans leurs actes les accable.

Mais qu’est ce qui peut pervertir à ce point l’esprit de ces hommes forçant à nier le comportement atroce de leur descendance ? Quelle science malsaine ou idéologique diabolique a ravagé leur conscience pour en arriver à déculpabiliser un apprenti terroriste ou un meurtrier issu de leur propre chair ?

On connait malheureusement la réponse en ouvrant le livre de la violence et du crime, le coran, truffé comme un champ de mines des innombrables paragraphes (sourates) assassins appelant à massacrer non seulement les juifs, mais les homosexuels et les mécréants (n’oublions jamais que nous sommes aussi sur la liste).

Le coran pierre angulaire de l’islam, idéologie de mort polluant et altérant depuis des siècles l’esprit des hommes au point de les aveugler, de leur faire pardonner l’impardonnable et défendre l’indéfendable.

Le coran est un virus mortel couché sur papier, et pire aujourd’hui répendu à l’infini sur Internet, qui dès lecture ou contact infecte l’esprit des plus jeunes, pourri et perverti les capacités naturelles des hommes, à discerner, quand ils le veulent, la vérité du mensonge, le bien du mal, le vrai du faux. Il infecte le cerveau de plus d’un milliard d’êtres humains dès la naissance et jusqu’à la mort.

En phase terminal, il pousse une partie, hélas croissante, des êtres dans la force de l’âge, sinon dans le plus jeune âge, à pourchasser leurs semblables qui n’auraient pas encore été contaminés et à tuer ceux qui veulent s’en immuniser.

Avant qu’il soit trop tard, il est urgent de trouver ou de retrouver l’antidote à ce mal pernicieux qui ronge l’humanité et va l’entraîner à sa perte plus vite qu’on ne le pense si rien n’est fait. Il faut garder espoir car tout n’est pas vain et les choses commencent à bouger sur le continent européen.

C’est une réaction saine, une véritable défense immunitaire, des hommes et des femmes dans toute l'Europe, de plus en plus nombreux, qui ont compris le péril mortel de l’infection remontant vers l’hémisphère nord et dont les métastases infiltrent sournoisement la société civile, économique et politique de leurs pays inoculée par les médecins maudits expérimentateurs que sont les politiques.

Il est plus que temps de réagir. 

Nous sauverons nos frères humains appelés aujourd’hui musulmans et qui demain redeviendront des hommes libres et donc réfléchis, cohérents puisque guéris, sinon conscients, du cancer de l’islam et enfin de compte libérés d’une tyrannie mentale fondée sur l’anéantissement des autres.

L’islam, nocif pour l’humain, disparaitra comme d’autres pseudo-idéologies malignes avant lui. L’Homme mérite certainement mieux que cela.