• Rediff. En Espagne, les musulmans tuent les chiens en les empoisonnant parce qu’ils sont ''impurs'' dans l’islam

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    Les autorités espagnoles mènent une enquête sur l’empoisonnement d’une douzaine de chiens dans la ville de Lérida située au nord-est de la Catalogne, région où le débat sur l’islam fait rage.
    Tous les chiens ont été empoisonnés en septembre dans des zones presque à 100% musulmanes de la banlieue de Lérida. L’affaire n’est pas récente puisque beaucoup de chiens ont été tués ces dernières années.
    Les espagnoles de la région relatent que les immigrants musulmans tuent les chiens parce qu’ils sont impurs dans l’islam. Depuis plusieurs mois, les résidents espagnoles racontent que les musulmans les harcèlent quand ils promènent leurs chiens dans la rue et qu’ils ont crée plusieurs sites et blogs sur Internet pour lancer des campagnes contre les chiens.
    Voyant que la police ne les protégeait pas, une cinquantaine de résidents se sont organisés en créant des patrouilles pour escorter les personnes promenant leur chien.
    En juillet, deux groupes islamistes de la ville de Lérida ont officiellement demandé au conseil municipal de règlementer la présence de chiens dans les espaces publiques afin de ne pas offenser les musulmans notamment en les interdisant dans les bus et dans tous les endroits fréquentés par les musulmans. Les groupes islamistes ont rappelé que la présence de chiens viole leur liberté religieuse et leurs droits de vivre selon les règles islamiques.
    Mais il n’y a pas que ce problème à Lérida depuis que 20% de la population est musulmane (29 000 personnes).
    En décembre 2010, Lérida a interdit la burqa dans les espaces publiques pour la première fois en Espagne. Une journée avant l’interdiction, la cour suprême de Catalogne a rejeté une demande de l’association islamique Watani pour la justice et pour la liberté trouvant que l’interdiction constituait une discrimination religieuse.
    En septembre 2010, le président de l’association, Mourad El-Bougouhi a demandé au conseil municipal de Lérida de lui fournir gratuitement un terrain pour construire une mosquée financée par le Maroc. La demande est en concurrence avec un autre projet de construction d’une mosquée financée par l’Arabie Saoudite dont l’imam, Abdelwahab Houzi, est un jihadiste salafiste qui adhère à l’islam radical wahhabite.
    Le wahhabisme est une branche radicale de l’islam qui prêche la restauration de la domination musulmane par l’établissement d’un califat islamique au Moyen-Orient, en Afrique du Nord et aujourd’hui en Europe tel qu’en Espagne, pays vu comme un état musulman à reconquérir.
    Une grande partie de l’Espagne a été sous domination de l’islam entre 711 et 1492. Les salafistes pensent que les territoires perdus lors de la Reconquista leur appartiennent et qu’il est de leur droit de les reprendre sur le principe qu’un territoire musulman doit y rester à jamais.
    Un des salafistes nommé Houzi a appelé les musulmans pouvant voter en Espagne à le faire pour les partis séparatistes afin de restaurer l’islamisme en Catalogne : les musulmans doivent voter pour ces partis. Et ce que les espagnols ne savent pas s’ils accordent le droit de vote aux immigrés musulmans est que nous voterons pour des partis politiques islamistes parce que nous ne croyons ni à la gauche ni à la droite. Nous gagnerons alors les conseils régionaux et nous aurons assez de pouvoir pour imposer l’islam en Catalogne…
    L’indépendance est une volonté forte de certains mouvements en Catalogne prônant le séparatisme basé sur l’idée que la région a son histoire, sa langue et sa culture.
    Afin de favoriser la langue, des partis pro-indépendance ont poussé à l’immigration provenant de pays étrangers en particulier de pays musulmans en pensant ainsi qu’ils parleraient le catalan au lieu de l’espagnol.
    Le résultat de décennies de cette politique aujourd’hui est que la Catalogne concentre des groupes islamistes radicaux tels que les salafistes ou Hizb ut-Thair al-Islami.
    Les salafistes en Catalogne rejettent la démocratie et martèlent que la charia est au dessus des lois espagnoles. Par ailleurs, ils œuvrent souterrainement pour construire une société musulmane parallèle.
    Les imams salafistes ont mis des tribunaux islamiques en place en Catalogne pour juger les musulmans pratiquant et non pratiquant. Ils ont également déployé une police religieuse dans Lédira et d’autres villes locales pour surveiller et punir les musulmans qui ne respectent pas la charia.
    Par exemple dans une affaire, 9 salafistes ont enlevé une femme parce qu’ils pensaient qu’elle avait commis un adultère et qu’ils voulaient la condamner à mort. La femme a pu s’échapper en se réfugiant dans un poste de police.
    Dans une autre affaire, un imam salafiste de Tarragona a été arrête pour avoir forcé une jeune marocaine de 31 ans à porter la burka. Il la menaçait par ailleurs de bruler sa maison parce qu’elle travaillait, conduisait et avait des amis non musulmans. Mais pour éviter des émeutes, le tribunal local a disculpé l’imam en août.
    Le mouvement salafiste en Espagne est localisé dans la ville de Tarragona en Catalogne et l’islam salafiste est majoritairement présent dans les villes de Badalona, Calafelle, Cunit, Girona, Lleida, Mataro, Reus, Roda de Bara, Rubi, Salt, Santa Coloma de Gramenet, San Boi, Torredembara, Valls, El Vendrel et Vilanova sans mentionner Barcelone qui héberge 5 mosquées salafistes.
    Entre temps, le gouvernement local Catalan a annoncé qu’il avait empêché 14 mariages forcés et 24 excisions de jeunes musulmanes sur les 6 premiers mois de 2011. La police a précisé qu’elle avait empêché les mariages forcés et les excisions dans plusieurs villes de Catalogne.
    Compte-tenu de la situation, les catalans commencent à rejeter l’immigration musulmane. Le parti politique Plataforma per Catalunya (PxC) fort de 70 000 membres actifs s’oppose à la construction de nouvelles mosquées.
    De son côté, le gouverment local vient de se rendre compte que les immigrants musulmans refusent d’apprendre le catalan. Et donc, pour faire la promotion de la langue, le bureau des affaires religieuses a publié récemment un guide en arabe et en catalan nommé ‘’Salam al Catala’’ dont l’objectif est de montrer les liens historiques entre les deux cultures et d’apporter la langue catalane aux musulmans parlant exclusivement l’arabe.

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