• Le 30 mars, une foule agressive de musulmans a pris d’assaut l’hôpital Saint Elisabeth de la ville d’Herten (Rhénanie du Nord) suite au décès d’un des leur en soins intensifs. Dans un premier temps, la police allemande est intervenue pour expulser les assaillants mais face à la violence de leur comportement des renforts ont dû être appelé (10 véhicules de police) ainsi que le chef turc de l’association locale islamique. Les musulmans expulsés ont continué à hurler de façon hystérique pendant toute la nuit. Source : journal allemand en ligne  Recklinghaeuser-Zeitung.de

    Les photos de l'agression
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  • Scandale dans le milieu du football axonais. Ce dimanche à Ribemont, la minute de silence normalement demandée dans tous les stades de France a été plutôt chamboulée, lors du match contre Harondel (Somme).

    La cérémonie, en mémoire des victimes des tueries de Toulouse et Montauban perpétrées par Mohamed Merah la semaine passée, était organisée sur instruction ministérielle, comme dans tous les stades de France.

    Seulement voilà : cet hommage, Nabil Redjimi, l'a quelque peu bousculé. Selon des témoignages, l'arbitre n'est pas resté durant la minute de silence.

    Plusieurs participants l'affirment : « L'arbitre a dit qu'une minute de silence était organisée, et que lui viendrait ensuite, après la minute de silence. » D'autres ajoutent qu'il a expliqué que c'était « parce qu'il est musulman ».

    Un autre arbitre le confirme : « Avant de nous passer les consignes d'avant match, Nabil nous a fait savoir qu'il ne participerait pas à la minute de silence demandée par les instances du sport, pour des raisons qui lui appartiennent, et qu'il assumait ce choix. Il nous a demandé si cela ne nous dérangeait pas. (...) Nous avons donc, avec les joueurs des deux clubs, observé la minute de silence. Ensuite, il est venu nous rejoindre. »

     « J'en… Le Pen et Sarko »...

    La suite ici : AisneNouvelles.fr

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  • 1945, la fin du nazisme et de la solution finale, programme monstrueux d’extermination des juifs. Mais était-ce réellement la fin ? Non car l’idéologie est toujours présente reprise aujourd’hui par l’islamisme. Le tueur musulman Mohamed Merah n’a pas assassiné au hasard, influencé par sa religion de haine dont le but final est d’éradiquer les juifs et les mécréants de la surface de la terre. 


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  • mur-tagge-a-la-memoire-de-Merah-500x332.jpg im2-copie-7.jpg

    Tu as été un preux chevalier de l’islam,

    tu as combattu la merde sioniste et les faux musulmans 

    tu es mort les armes à la main…

    Je te salue Mohamed mon frère, mon ami…

    Repose en paix !

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  • En ces temps de confusion extrême et d’inversion des valeurs où les professeurs organisent dans les écoles de France des minutes de silence (à Lyon et à Rouen) en mémoire du pauvre soldat Mohamed Merah victime de la barbarie islamique, il serait opportun de se souvenir de toutes les victimes du totalitarisme qu’il soit nazi ou islamique.

    N’oublions jamais le sacrifice des musulmans djihadistes ou des waffen ss pour un monde libre et meilleur.


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  • Chez les musulmans, où le mariage forcé avec des jeunes filles mineures est la norme, le contrôle du comportement des femmes est une question d’honneur. Avoir un petit ami, se maquiller, s’habiller à l’occidental, refuser de se marier avec un musulman choisi par la famille ou quitter un mari violent peut être considéré comme déshonorant.

    Ce reportage édifiant montre le calvaire des femmes musulmanes victimes des crimes d’honneurs en Angleterre.

    Dans ce pays, le taux de suicide des musulmanes est trois fois supérieur à la moyenne nationale. Les statistiques révèlent qu’entre 10 et 12 femmes meurent chaque année assassinées dans une violence extrême.


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  • Ici la cathédrale de la ville Wiener Neustad le 6 mars. Des témoins ont vu s’enfuir deux musulmans turcs.


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    L'intervention des pompiers sur le toit de l'église.

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    ... et dans la nef.

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    L'église de Wiener Neustad avant l'incendie (vue de face).

    Source : oe.24.at

     

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  • En France, les politiques préfèrent enterrer le problème. L’offensive de l’islam peut donc continuer à progresser de façon sournoise et violente en empoisonnant les gens et en les assassinant dans la rue.


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    Au Royaume-Unis, les ministres se préparent à changer la loi pour que la viande abattue conformément aux règles des musulmans ne puisse plus être vendus aux non musulmans à leur insu.

    La loi vise à prévenir entre autre les écoles, les hôpitaux, les restaurants où aujourd’hui de la viande halal est secrètement servie aux personnes.

    Les militants des droits des animaux ont accueilli le projet avec soulagement dénonçant la cruauté de l’abattage islamique : l’égorgement d’un animal vivant par un couteau.

    Une enquête a montré en septembre 2010 que de la viande halal provenant de bœuf, de poulet et d’agneau était vendue aux fans du stade de Wembley sans qu’ils le sachent.

    Par ailleurs, le collège public de Cheltenham parmi d’autres très nombreuses écoles sert du poulet halal sans que les élèves soient informés. Même situation dans le restaurant Whitbread du plus grand hôtel d’Angleterre. Les députés anglais ont été également furieux de découvrir que la Chambre des Communes servait de la viande halal sans que cela soit indiqué.

    Lord Taylor de Holbeach, ministre de l’environnement, a déclaré que l’Angleterre prendrait des mesures si l’union européenne ne parvenait pas prochainement à s’entendre sur un système d’étiquetage.

    Lord Taylor a déclaré que le gouvernement était satisfait de l’approche car elle permettra d’informer les consommateurs et réduira la souffrance des animaux abattus sans étourdissement. Source : DailyMail.co.uk

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  • Si rien n’est fait, un complexe musulman dit Centre pour l’Islam en Europe sera construit à Munich (CIE ou ZIE-M en allemand).

    Le complexe abritera une mosquée géante, un centre dit ‘’culturel ‘’ et surtout une école coranique où non seulement les futurs djihadistes seront formés mais également leurs ‘’cadres’’ et ‘’enseignants’’ prêchant toute la haine contenu dans le coran : le meurtre des juifs, des non-juifs et des homosexuels, la lapidation des femmes et l’amputation physique des membres des mécréants pour leurs actes haram (non conforme à l’islam).


    Le 24 mars dernier, des citoyens allemands se sont donc rassemblés dans Munich pour avertir leurs compatriotes du danger que représenterait la naissance d’un tel monstre et ont présenté une pétition signée par beaucoup de personnes. Ce rassemble patriote de résistants à l’islamisation de l’Allemagne a pris toute son importance suite aux événements tragiques de Toulouse. Reportage photos ci-après.


     

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    Sur cette photo, un patriote allemand rappelle que le tueur musulman Mohammed Merah a séjourné en prison de 2007 à 2009 où il s’est consacré à l’étude du Coran qui lui a appris entre autre qu’il serait récompensé au paradis s’il tuait des infidèles. Le citoyen a rappelé que le musulman a tué trois enfants juifs d’une balle dans la tête en hurlant triomphalement ‘’allah akbar’’, dieu est grand.


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    Des allemands signent la pétition contre le complexe islamique. Leur mobilisation va croissante de jour en jour, les personnes de toute la Bavière s’impliquant dans le refus et le rejet de l’islam, idéologie raciste, meurtrière et violente.


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    Ici, une musulmane agresse verbalement un des citoyens dénonçant la dangerosité du coran. Pour les musulmans, le ‘’saint’’ coran ne peut absolument pas être remis en cause. Source : Bayern.DieFreiheit.org

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  • A la question posée par l’institut de sondage ACS Faites-vous confiance aux musulmans ? 52% des canadiens ont répondu NON (72% chez les francophones, 43% chez les anglophones). Autres questions posées par ACS :

    - Faites-vous confiance aux protestants ?  OUI à 71%

    - Faites-vous confiance aux catholiques ?  OUI à 70%

    - Faites-vous confiance aux juifs  ?  OUI à 69%



    Source : Canada.com
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  • Le problème devient si grave que les Etats-Unis ont proposé la mise en place d’une plate-forme de surveillance au consulat Us de Barcelone pour contrer la menace.

    L'ambassade des États-Unis à Madrid a signalé que la Catalogne est devenue une base de premier plan pour les opérations des islamistes, grâce notamment à l'immigration incontrôlée dans la région où vit désormais une forte population musulmane susceptible de basculer facilement dans le djihad par recrutement.


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    Des policiers espagnols dans la ville de Ceuta située dans l'enclave hispanique d'Afrique du Nord le jour où a eu lieu le raid contre la mosquée des musulmans salafistes.


    Neuf islamistes, en procès à Madrid, sont accusés de planifier des attaques terroristes visant à libérer l’Espagne par l’islam.

    Les procureurs espagnols affirment que des musulmans - salafistes djihadites - appartenant à un groupe islamiste dénommé Armée du Messie (Ansar Al-Mahdi) ont cherché à libérer les villes de Ceuta et Melilla, deux enclaves espagnoles en Afrique du Nord, de la domination espagnole et ensuite, de lancer la reconquête islamique de l’Espagne.

    Le salafisme est une branche de l'islam radical qui cherche à rétablir par la force un empire islamique (califat) au Moyen-Orient, en Afrique du Nord et en Espagne, considérant que tout Etat musulman ou ex-musulman doit être reconquis par l'islam.

    La presque totalité de l'Espagne était gouvernée par les musulmans de 711 et 1492. Les salafistes pensent que les territoires musulmans perdus lors de la Reconquista espagnole appartiennent toujours à eux et qu'ils ont un droit de retour pour y établir leur domination.

    Cette conviction est fondée sur le précepte islamique affirmant que les territoires autrefois occupés par les musulmans doivent toujours rester sous domination musulmane car ils sont détenus à jamais par allah.

    Les procureurs espagnols ont indiqué que le groupe de djihadistes était basé dans la mosquée de Darkawia dans le quartier El Príncipe Alfonso de la ville de Ceuta. Le leader est un imam marocain du nom de Mohammed Abdessalam imam, prêcheur d’un islam très virulent.

    Les djihadistes sont accusés d'avoir préparé une série d'attentats à Ceuta, contre les églises, le port de la ville et d'autres infrastructures, visant ainsi à dupliquer les attentats dans les trains qui ont eu lieu à Madrid le 11 mars 2004. Les attentats de Madrid ont tué 191 personnes et blessé 1800 personnes. Ils sont considérés comme l'une des pires attaques terroristes de l'histoire européenne récente.

    Les procureurs veulent huit de prison pour chacun des suspects, dont le procès se déroule à la Haute Cour espagnole (Audiencia Nacional) de Madrid.

    Le procès s’appuie sur un rapport secret issu d’une fuite du Centre National du Renseignement Espagnol en janvier dernier avertissant que les islamistes salafistes constituaient la plus grande menace pour la sécurité en Espagne.

    Le document met en garde contre des symptômes alarmants de la présence en Espagne des membres d'un groupe islamiste, Takfir wal-Hijra, qui prêche la version la plus radicale et violente du salafisme-jihadisme.

    La doctrine Takfir wal-Hijra prêche le djihad sans règles autorisant le comportement de non-musulmans pour des activités extrémistes : boire de l’alcool ou se livrer au trafic de drogue. Le groupe veut asservir la planète pour imposer un califat mondial régis exclusivement par la charia islamique. Selon le renseignement espagnol, les musulmans islamistes du groupe sont aujourd’hui fermement établis à Barcelone, Madrid, Malaga, Valence et dans d'autres villes espagnoles.

    Le document indique que le renseignement a détecté des activités du groupe islamiste dans des mosquées de Barcelone et de Valence. Les mosquées sont dirigées par des imams radicaux provenant d’Algérie et du Maroc prêchant le prosélytisme islamique et le recrutement de nouveaux musulmans.

    Le rapport fait l'écho d’avertissements précédents du renseignement par des fonctionnaires américains et espagnols affirmant que la région autonome de la Catalogne dans le nord de l’Espagne est un énorme centre méditerranéen pour les islamistes radicaux.

    Par ailleurs, l'ambassade des États-Unis de Madrid a signalé que la Catalogne est devenue une base de premier plan pour les opérations des islamistes, grâce notamment à l'immigration incontrôlée de la région où vit désormais une «forte population musulmane susceptible de basculer facilement dans le djihad par recrutement.

    Le document fournit également un aperçu de l'étendue sur les liens entre les terroristes islamiques et le crime organisé à Barcelone. Le problème est tellement grave que les États-Unis ont proposé la mise en place une cellule de renseignement au consulat américain de Barcelone pour contrer la menace.

    Par ailleurs, cinq pages, datées d’octobre 2007, décrivent le lien entre l'immigration musulmane de masse en Espagne dans les dix années passées et la montée de l'islamisme radical dans le pays.

    Le document, classé secret précise que l'immigration lourde - à la fois légale et illégale - en provenance d'Afrique du Nord (Maroc, Tunisie, et Algérie) d'Asie du Sud (Pakistan et Bangladesh) a fait de la Catalogne, un pôle d'attraction pour les recruteurs de terroristes. La police nationale espagnole estime qu'il peut y avoir plus de 60 000 Pakistanais vivant à Barcelone et dans la région environnante : la grande majorité sont de sexe masculin, célibataire ou non accompagnés, et sans papier.

    Et il y a encore plus d’immigrants en provenance d'Afrique du Nord. Ils vivent en marge de la société espagnole, ils ne parlent pas la langue, ils sont souvent au chômage, et ils ont très peu d'endroits pour pratiquer leur religion. Individuellement, ces circonstances fournissent un terrain fertile pour le recrutement de terroristes, la menace est donc claire.

    Le résultat final de cette politique d'immigration désastreuse, est que la Catalogne est aujourd'hui le nouveau haut lieu de l’islam le plus radical, selon le parti nationaliste catalan Plataforma per Catalunya (PXC).

    Par ailleurs, les prédicateurs salafistes - qui détestent la démocratie et enseignent que la loi islamique la charia est au-dessus du droit civil espagnol - appellent désormais les musulmans à voter pour les partis catalans séparatistes afin d’établir un moyen d’implanter solidement l'islam en Catalogne.

    Abdelwahab Houzi, par exemple, est un prédicateur salafiste djihadiste dans la ville catalane de Lérida, où 29 000 musulmans représentent aujourd'hui environ 20% de la population totale de la ville.

    Houzi, qui adhère à la secte radicale wahhabite de l'Islam, a récemment déclaré: les musulmans doivent voter en faveur de partis indépendantistes mais ce que les catalans ne savent pas, c'est que quand ils accorderont le droit de vote à tous les musulmans, ils voteront pour des partis islamiques parce que nous ne croyons ni en la gauche ni en la droite. Nous gagnerons alors les conseils municipaux locaux et commencerons à gagner du pouvoir en Catalogne. L'islam pourra alors être mis en œuvre. Source GateStoneInstitute.org


    Voir aussi :

    - L'Espagne bientôt sous domination musulmane

    - En Espagne, les musulmans tuent les chiens (en les empoisonnant) parce qu'ils sont impurs dans l'islam

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  • Regardez cette vidéo. Cela se passe à Téhéran ? Kaboul ? Islamabad ? Non. A Berlin, en future ex-Europe de l’Ouest.



    Un jeune de 18 ans Yousef el-Abed, est décédé, suite à une rixe qui a tourné en guerre de religion, musulmans contre chrétiens, après une rencontre de foot le 4 mars 2012, à Berlin.

    Pendant la partie, un joueur du club NFC Rot-Weiss Neukölln reçoit un carton rouge. Ses supporters, la plupart immigrants, n’acceptent pas la sanction. La tension monte, la police calme la scène. Deux spectateurs, Sven N. et Oliver H. tentent également de calmer les esprits.

    Mais les « jeunes » n’entendent pas en rester là. Après le match, ils envahissent l’Aronsstraße, et interpellent le travailleur social Allemand, Olivier H.

    Vers 18 heures, une vingtaine revient devant chez lui, armés, et jettent des pierres sur ses fenêtres. Ce dernier descend, accompagné de son ami, Sven P., allemand lui aussi. Une bagarre éclate. Yousef el-Abed, Palestinien de naissance, reçoit un coup de couteau mortel.

    Sur les lieux, la police découvre des marteaux, des couteaux, appartenant vraisemblablement aux jeunes de Neukölln. Elle conclut à la légitime défense de Sven P. et à une nouvelle tension « ethnique ». Sa priorité, ramener le calme dans le quartier.

    L’enterrement de l’adolescent au cimetière de la mosquée de Sehitlik, sur la vidéo, se fait aux cris de Allah Akbar (traduction : il n’existe pas d’autre dieu que Allah). Il est suivi par une marée humaine si dense que des rues entières sont fermées, et les trajets de bus détournés. Dans la foule des « jeunes endeuillés », des milliers d’islamistes ont trouvé là prétexte idéal à une démonstration de conquête territoriale.

    La presse allemande est suffoquée du spectacle, que l’on s’attendrait à voir dans les rues de Gaza ou de Téhéran.

    « Yousef était un martyr », hurle l’imam Ferid Heider devant les musulmans réunis à la mosquée Dar-Assalam, et qui jurent de venger sa mort, d’autant que Sven P., jugé innocent et en état de légitime défense, a déjà été relâché de prison.

    Silke Becker, le porte parole du procureur, s’étonne, tout en restant politiquement très correct, que les « jeunes » n’acceptent pas la décision de la justice : « l’enquête a clairement établi qu’il s’agit d’un cas d’auto-défense, le cas est clos ».

    « Chaque jour depuis la mort de Yousef, les « jeunes » se rendent sur les lieux de l’accident, rue Fritzi-Massary, et déposent des gerbes de fleurs, se plaignent les résidents du quartier qui sont allés reporter à la police que la situation est devenue irrespirable ».

    La municipalité discute maintenant de l’idée d’élever un mémorial pour Yousef, ce qui apparaît aux yeux de beaucoup comme une marque de soumission pour éviter l’explosion de ces jeunes musulmans, qui refusent de se conformer à la décision du tribunal, car ils considèrent que la Sharia lui est supérieure.

    « Des jeunes musulmans meurent, à Berlin, c’est une triste réalité, explique un berlinois, mais les criminels sont musulmans eux-mêmes. Jamais les imams n’élèvent ces victimes au rang de martyrs. Jamais autant de musulmans viennent à leurs funérailles ».

    Un mort n’est pas un mort ? Un musulman tuée par un chrétien est un martyr qui demande qu’on le venge, mais s’il est tué par un autre musulman, il n’intéresse pas leur communauté ? Y a t-il là quelque chose de commun avec la culture judéo-chrétienne ?

    L’intégration de musulmans à ce point hostiles aux chrétiens et qui rejettent les règles démocratiques est-elle possible ? Des laïcs et des chrétiens, respectueux de la religion dans la sphère privée, face à des musulmans en conquête territoriale et religieuse, quel est le terrain d’entente, si ce n’est la victoire des plus radicaux sur les plus tolérants ? Faut-il continuer à fermer les yeux pour ne pas stigmatiser les musulmans, ou les ouvrir pour ne pas stigmatiser les autres ?

    Pourquoi avoir ainsi laissé l’islam envahir l’Europe ? Pourquoi avoir accepté le traumatisme, maintenant irréversible, d’en modifier à jamais sa structure profonde ? Pourquoi ce suicide civilisationnel ? Pourquoi avoir laissé *précisément* l’islam, cette idéologie conquérante, qui a déjà arraché plus de 50 Etats des mains de ses occupants précédents, par le sang la terreur et la violence, pourquoi le laisser continuer sa route inexorable vers l’accomplissement final, l’islamisation du monde ?

    Source : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info

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  • Comme dans beaucoup de grandes villes européennes, les musulmans deviennent progressivement majoritaires phénomène accentué par la fuite et la démographie en berne des européens de souche.

    A Bruxelles, ils représentent déjà 25% de la population et deviendront majoritaires dans quelques décennies à cause de leur taux de natalité très élevé.

    En Belgique, certains groupes de musulmans radicaux sont aujourd’hui certains que la charia, la loi islamique fera, à terme, force de loi même si des belges refusent l’islamisation de leur pays et tentent de résister.

    Pour eux et pour les experts très pessimistes sur l’avenir de la Belgique, une vague musulmane emportera tout et Bruxelles deviendra la capitale islamique de l’Europe vers 2030.

    Ce n’est plus qu’une question de temps.


     


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  • Jeu réservé aux musulmans fans du prophète islamique. La boite contient 23 épouses dont une de 6 ans nommée Aïcha. Le contenu est certifié halal.

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    Le jeu est inspiré de la vie maritale du prophète :

    Selon ses biographes, mahomet aurait eu en tout quinze épouses tout au long de sa vie. Dans son livre La chronique, l'historien médiéval Tabari signale que Mahomet aurait convoité cinq femmes et qu'il avait deux esclaves. Il avait parfois en même temps onze femmes, parfois neuf et parfois dix. Quand il mourut, il laissa neuf veuves. Selon d'autres traditions, mahomet aurait épousé vingt femmes et qu'« il y a en outre cinq femmes que le prophète a convoitées, mais qu'il n'a pas épousées ». 

    Après la mort de Khadija, sa première épouse, il épouse la veuve Saouda, puis, pratique conforme aux normes et aux valeurs de l'Arabie de l'époque et toujours actuelle dans certains pays, âgé d'environ 50 ans, il épouse Aïcha fille d'Abu Bakr et âgée de 6 ans. Trois ans plus tard, il consomme le mariage ; elle a 9 ans.

    Selon le Coran, ce statut spécial de mahomet lui autorisant d'avoir plus de quatre épouses lui aurait été révélé par l'archange Gabriel : Ô prophète ! il t'est permis d'épouser les femmes que tu auras dotées, les captives que Dieu a fait tomber entre tes mains, les filles de tes oncles et de tes tantes maternels et paternels qui ont pris la fuite avec toi, et toute femme fidèle qui aura donné son âme au prophète, si le prophète veut l'épouser. C'est une prérogative que nous t'accordons sur les autres croyants .

     Nous connaissons les lois du mariage que nous avons établies pour les croyants. Ne crains point de te rendre coupable en usant de tes droits. Dieu est indulgent et miséricordieux.

    La plupart de ses unions avaient un caractère politique et accompagnait le ralliement de tel notable ou tel clan. Au Moyen Âge, la polygamie est fréquente en Arabie, Mahomet la limite à quatre épouses. À part Aïcha, toutes les autres épouses de mahomet étaient veuves, pour certaines plusieurs fois. L'une de ses épouses perdait continuellement du sang. Les mariages sont tous liés à un intérêt diplomatique comme le veut la tradition arabe de l'époque.

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  • ... par la création d’un conseil islamique dans la province de Guipuscoa (nord du pays). Leur objectif est d’intervenir dans les institutions publiques (et donc politiques) de la communauté basque, d’enseigner l’islam dans les écoles, d’injecter des repas halal dans les cantines scolaires et de construire des mosquées.


    Cliquez sur l'image pour voir la vidéo

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    Voir aussi :

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  • Addendum 12/03 : encore un autre reportage accablant sur les risques sanitaires de la viande halal.



    Dans un abattoir français, quand un musulman sacrificateur égorge un bœuf, le contenu de son estomac s’écoule à travers la plaie béante de l’œsophage provoquant des risques d’infection de la viande par la redoutable bactérie E.Coli issue des matières fécales (excréments).

    E.Coli (Escherichia coli) peut contenir des agents pathogènes entrainant méningites, septicémies, infections urinaires ou gastro-entérites. Une intoxication affecte en particulier les enfants en bas-âge. 


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    Abattage islamique d'un boeuf par égorgement

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    Escherichia coli. Grossissement × 15 000

     

    Dans le commerce (supermarchés ou bouchers), il est impossible de distinguer une barquette de viande halal d’une barquette de viande non halal parce que les politiques, influencés par les groupes de pression musulmans et les industriels, refusent de le signaler. 

    Aussi comment ne plus prendre le risque d’empoisonner nos enfants avec de la viande halal ? (en France, 40% des bovins sont abattus selon le rite islamique : bœuf tourné vers la Mecque, sacrificateur musulman récitant une invocation à allah au moment où il tranche la gorge de l’animal). 

    L’association Œuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoirs (OABA ) publie sur son site la liste* des abattoirs ne pratiquant pas l’abattage selon le rite musulman. La liste contient le numéro de l’abattoir que l’on peut retrouver sur l’étiquette de la barquette de viande.

    Une famille peut donc s’informer sur le mode d’abattage de l’animal et éviter d'intoxiquer ses enfants par la bactérie E.Coli issue du tranchage islamique de la gorge. Le numéro d’abattoir conventionnel (non halal) contient la localisation (département) et le numéro d’agrément de l’abattoir. Voir l'exemple ci-dessous :

    im.pg.jpg * Elaborée en tenant compte des renseignements obtenus par l’OABA auprès des établissements concernés, notamment à la suite de ses visites d’abattoirs. Elle ne peut être considérée comme exhaustive et l’OABA s’engage à la compléter ou la modifier dès qu’une demande corrective lui sera adressée par un abattoir ou par les services vétérinaires de contrôle. La liste ne concerne que les animaux dits de boucherie (bovins, moutons, chèvres et porcs). L’OABA ne peut publier une liste identique pour les établissements d’abattage de volailles et de lapins puisque la majorité de ces établissements refuse les visites de l’OABA. 

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  • Un drame occulté par les médias occidentaux influencés par les groupes de pression musulmans 


    L’oppression violente des minorités chrétiennes est devenue la norme dans les pays à majorité musulmane de l’Afrique occidentale au Moyen-Orient jusqu’à l’Asie du Sud.

    La violence n’est pas issue de groupes d’islamistes minoritaires mais est l’expression antichrétienne des musulmans qui ne tolèrent pas d’autres religions et d’autres cultures.

    La conspiration du silence entourant l’intolérance religieuse et le massacre doit cesser car le sort du christianisme est en jeu et finalement le sort de toutes les minorités religieuses dans le monde islamique.

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    Article paru dans NewsWeek de février 2012 :

    Une guerre méconnue est en cours dans le monde islamique, guerre contre les chrétiens en raison de leur religion. Il s’agit d’un massacre de plus en plus massif qui devrait susciter une indignation et une réaction mondiale.

    Ces dernières années, l'oppression violente des minorités chrétiennes est devenue la norme dans les pays à majorité musulmane qui s'étend de l'Afrique occidentale, au Moyen-Orient jusqu’à l'Asie du Sud. Dans certains pays, les gouvernements islamiques et leurs agents brûlent des églises et emprisonnent des chrétiens. Dans d'autres, les milices musulmanes ont pris ‘’les choses en mains’’, en assassinant les chrétiens ou en les déportant vers des régions non islamiques. 

    Les médias évitent volontairement d’en parler influencées par des groupes de pression musulmans comme l’OCI, l’Organisation de la Conférence Islamique basée en Arabie Saoudite. Par ailleurs, sur les dix dernières années, ces groupes ont réussi à persuader les politiques et les journalistes des pays occidentaux que les musulmans sont stigmatisés par l’islamophobie. 

    Mais dans la réalité, l’ampleur et la gravité de la pseudo ‘’islamophobie’’ inventée par les défenseurs du coran n’est rien en comparaison avec la christianophobie sanglante qui se répand dans les pays musulmans.

    La conspiration du silence entourant l’intolérance religieuse et le massacre doit cesser car le sort du christianisme est en jeu et finalement toutes les minorités religieuses dans le monde islamique.

    Les chrétiens vivent sous la terreur pris dans l’étau des lois sur le blasphème, des meurtres brutaux, des attentats à la bombe, des mutilations et de la destruction de leurs lieux saints.

    Nigéria. Dans ce pays, les chrétiens souffrent de toutes ces persécutions musulmanes amplifiées aujourd’hui par les islamistes radicaux du groupe Boko Haram ajoutant encore plus de violence à leur malheur. Le but de Boko Haram est d'imposer la charia au Nigeria en commençant par tuer tous les chrétiens du pays.

    En janvier 2012, Boko Haram a assassiné 54 chrétiens. En 2011, 510 personnes ont été massacrées, 350 églises détruites dans le nord musulman. Les armes des musulmans de Boko Haram sont des fusils d’assaut, des explosifs incendiaires, et même de machettes. Au crie de allah akba, ils s’attaquent aux citoyens sans défense.

    Soudan. La christianophobie qui sévit au Soudan depuis des années prend une forme différente. Le gouvernement autoritaire du nord musulman sunnite tourmente depuis des décennies les minorités chrétiennes et animistes du sud. Souvent décrite comme une guerre civile, il s’agit en réalité d’une persécution du gouvernement soudanais des minorités religieuses. La persécution a culminé dans le génocide au Darfour commencée en 2003. Même si le président musulman du Soudan, Omar al-Bashir, a été inculpé par la Cour pénale internationale de La Haye, la violence continue. Dans le Sud-Kordofan, les chrétiens sont toujours sous le feu de bombardement aérien, de meurtres ciblés, d'enlèvement d’enfants, et d'autres atrocités. Un rapport de l'Organisation des Nations Unies montre qu’entre 53 000 et 75.000 civils innocents ont été déplacés de leurs résidences par ailleurs pillées et détruites.

    EgypteDepuis le printemps arabe, les chrétiens coptes sont persécutés des groupes extra-gouvernementaux et par des agents de l'Etat. Le 9 octobre 2011 dans la région du Caire Maspero, les chrétiens coptes (11% de la population) ont défilé pour protester contre une vague d'attaques commises par des islamistes; incendies d'églises, viols, mutilations, et meurtres qui ont suivi le renversement d’Hosni Moubarak. Pendant la manifestation, les camions des forces de sécurité égyptiennes ont foncé sur la foule et tiré sur les coptes tuant 24 personnes et en blessant plus de 300. Fin 2011 plus de 200.000 Coptes avaient fui leurs maisons par peur de nouvelles attaques. Leur crainte semble justifiée si les islamistes prennent le pouvoir.

    Irak. Depuis 2003, plus de 900 chrétiens irakiens (la plupart des Assyriens) ont été tués par la violence terroriste à Bagdad, 70 églises incendiées, selon l'Agence internationale assyrienne Nouvelles (AIAN). Des milliers de chrétiens irakiens ont fui en raison de la violence réduisant leur nombre à moins de 500 000 personnes à plus d'un million avant 2003. L’AIAN décrit la situation comme un génocide en cours ou une purification ethnique.

    Pakistan2,8 millions de chrétiens vivent au Pakistan représentant 1,6% de la population. En minorité, ils vivent dans la crainte perpétuelle, non seulement des terroristes islamistes, mais aussi des lois draconiennes contre le blasphème. Par exemple, une chrétienne a été condamnée à mort pour avoir prétendument insulté le prophète Mahomet. Le gouverneur Salman Taseer a été tué par son garde du corps pour avoir tenté de la disculper. Le tueur a été ensuite célébré par les dignitaires religieux musulmans comme un héros. Le juge qui l’a finalement condamné à mort fin 2011 vit aujourd’hui dans la clandestinité craignant pour sa vie.

    Indonésie. Pays souvent présentée comme une démocratie tolérante et moderne dont la population est à majorité musulmane, donne aussi des signes de christianophobie. Selon le Christian Post, le nombre d'incidents violents commis contre les minorités religieuses (7% de la population est chrétienne) a augmenté de près de 40% entre 2010 et 2011.

    Iran. Des dizaines de chrétiens ont été arrêtés et emprisonnés pour avoir pratiqués leur culte en dehors de l’église étroitement contrôlée par la censure de l’Etat islamique.

    Arabie SaouditeLe million de travailleurs étrangers chrétiens a interdiction formelle de prier. La police religieuse musulmane fouille régulièrement leur domicile et les accuse de blasphème en les trainant devant les tribunaux où leur témoignage n’a pratiquement aucun poids face à un musulman.

    Ethiopie. Même dans ce pays, où les chrétiens forment la majorité de la population, des églises sont brûlées par la minorité musulmane. 

    Ce long catalogue d’atrocités commises contre les chrétiens est un problème majeur occulté. La violence n’est pas issue de groupes d’islamistes minoritaires mais est l’expression antichrétienne des musulmans qui ne tolèrent pas d’autres religions et d’autres cultures. 

    Comme le souligne, l'Institut Hudson pour la liberté religieuse, les minorités chrétiennes dans les pays à majorité musulmane ne sont plus protégées. Cela est particulièrement vrai dans les pays où l’islam devient radical : les ‘’justiciers’’ musulmans sentent qu'ils peuvent agir en toute impunité et sont même encouragés par l'inaction tacite des gouvernements. L’ancienne ‘’tolérance’’ des Turcs ottomans dans la protection des non-musulmans présents dans les sociétés islamiques (considérés par ailleurs comme des citoyens de seconde classe) a quasiment disparu remplacée par une terrible oppression dans le sang. Source : TheDailyBeast/NewsWeek

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  • Les américains veulent stopper la prolifération des mosquées et l’invasion progressive de la charia, la loi islamique, dans la société civile (20 Etats veulent interdire la charia). Partout dans le pays, les citoyens descendent dans la rue et manifestent pour dire non à l’islam.


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  • Rome, Cologne, Copenhague, Londres, d’énormes chantiers s’ouvrent dans toutes les grandes villes d’Europe d’où surgiront des mosquées géantes capables d’accueillir des milliers de musulmans.

    Les mosquées sont d’une part financées par des gouvernements de pays étrangers comme la Turquie, l’Iran ou l’Arabie Saoudite où règne la charia, la loi islamique et, d’autre part, sont soutenues par les partis politiques de gauche qui ne tolèrent aucune opposition à leur construction.

    Pour les experts de l’islam, ces mosquées ne changeront pas seulement la physionomie des villes mais également le paysage politique de l’Europe.


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  • Au Danemark, les musulmans se radicalisent à tel point qu'ils menacent les citoyens du pays et les réfugiés politiques.

    Un danois chrétien s’est fait physiquement agressé plusieurs fois par un jeune musulman parce qu’il avait tenu un discours sur l’Iran au parlement. Un pasteur iranien réfugié vit sous la menace constante des imams parce que des musulmans viennent se convertir au christianisme dans son église.

    Des chrétiens et des juifs fuient certains quartiers de Copenhague à cause de la violence des musulmans.

    Certains danois dénoncent la menace directe de l’islam sur leur pays comme la construction d’une mosquée géante dans Copenhague où l’islam radical sera prêché à l’encontre des personnes non musulmanes. Mais ils sont poursuivis par la justice danoise pour incitation à la haine.



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  • C'est une nécessité impérative que de le dénoncer et de le rappeler sans cesse.



    Les préjudices créés touchent tous les domaines de la société, qu'il s'agisse d'économie, de sécurité, d'éducation ou de santé. C'est une nécessité impérative que de le dénoncer et de le rappeler sans cesse. Il ne faut pourtant pas être dupe : les raisons conjoncturelles ne comptent pour rien devant notre droit imprescriptible et notre volonté de vivre en tant que Français et poursuivre l'œuvre de nos pères. Peu importe en réalité le coût réel des politiques migratoires : dénoncer l'immigration serait une mission tout aussi importante si l'immigration rapportait de l'argent à la France et si les banlieues ne s'embrasaient pas régulièrement.

    C'est l'essence de notre peuple qui est directement menacée, notre existence en tant que Français et Européens. Le refus de l'immigration, la nécessité d'inverser rapidement et massivement les flux migratoires s'imposent à tous ceux qui refusent la destruction de notre identité. Depuis plusieurs décennies, les hommes éclairés mettent en garde les Français contre les conséquences terribles de l'« immigration-invasion » qui s'abat sur la France. C'est Valéry Giscard qui liait ainsi immigration et invasion, pleinement conscient du problème comme la plupart des hommes politiques, mais bien trop lâches, compromis ou vendus à des intérêts contraire à la nation pour s'y opposer.

    Malgré une incessante propagande, nos compatriotes ouvrent pourtant les yeux et l'immigration est devenu un sujet de premier plan. C'est une chance qu'il faut saisir pour enfoncer encore le clou, faire progresser nos idées et dénoncer le système, et surtout pas à l'inverse en réduire l'impact ou, pire encore, faire cause commune avec les partisans du système. Le choix des mots, des sujets est primordial. Abandonner le combat contre l'immigration pour la lutte contre l'islam, puis abandonner la lutte contre l'islam pour la dénonciation du seul port de la burqa, revient à accepter un islam laïcisé, avalisé par le système, c'est admettre, surtout, la présence de millions d'immigrés non musulmans.

    Chacune de ces reculades est une tragique erreur. Il ne faut se tromper ni de constat, ni de combat : ceux qui feignent de dénoncer l'islam sous couvert de défendre la République, sont entièrement solidaires du système qui nous a imposé cette situation, a voulu nous faire taire quand nous la dénoncions et tente aujourd'hui d'instrumentaliser la juste colère des Français. Le cas de Michèle Tribalat est éclairant. En 1999, elle publiait De l'immigration à l'assimilation : enquête sur les populations d'origine étrangère en France.

    L'éditeur ne craignait pas de prétendre que l'une des deux grandes conclusions de ce livre était que « le processus d'assimilation continue à fonctionner, de façon beaucoup plus positive qu'on ne le croit souvent ». L'année précédente, elle commettait avec l'inénarrable Pierre-André Taguieff un autre livre au titre explicite : Face au Front national : arguments pour une contre-offensive. Militante anti-nationale engagée, elle ne craignait pas, payée par nos impôts et membre d'un institut national officiel d'attaquer ouvertement un parti légal représentant des millions de Français. Ces précédents n'empêchent pas qu'aujourd'hui jusque dans le camp national, certains louent les travaux de cette chercheuse, militante antinationale acharnée reconvertie dans le seul anti-islamisme.

    Cette position nouvelle n'est en réalité qu'un prétexte pour défendre et perpétuer le système coupable et justifier tous ses débordements, depuis les pires revendications de déviants sexuels, à l'opposé de nos valeurs. Il faut encore citer Caroline Fourest, autre héroïne du combat contre l'islam. Après avoir publié de nombreux ouvrages exclusivement dirigés contre le Front national et la chrétienté (livres dans lesquels elle dressait notamment de longues listes de noms ou d'entreprises coupables de soutenir le FN ou d'être trop catholiques), c'est par le biais de la lutte contre l'islam qu'elle poursuit son œuvre de propagande contre la société, que ce soit par son homosexualité militante et ses attaques contre la vie.

    Ces positions doivent être fermement combattues, car dénoncer l'islamisme et favoriser sur notre sol l'avortement, l'homosexualité, l'individualisme et la laïcité est un non-sens et ces positions sont incompatibles avec les nôtres. Non seulement ces attaques ne nous profitent en rien si le système s'en saisi, mais elles nous affaiblissent propageant les discours ennemis.

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  • Le 25 décembre 2011, les musulmans de Boko Haram ont perpétré un attentat à la voiture piégée devant une église juste au moment de la sortie de la messe dans la ville de Madalla. Bilan : 26 morts. 

     Cet acte odieux au nom de l’islam a brisé la vie de nombreuses personnes qui ont perdu un mari, une épouse ou un enfant. Le but des musulmans est de pousser les chrétiens à réagir et de provoquer ainsi une guerre de religion dont l’aboutissement serait la création d’un état islamique où la charia ferait force de loi.


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  • En Autriche, et plus particulièrement dans la ville de Vienne, berceau de la civilisation judéo-chrétienne, les musulmans turcs sont de retour grâce à l’immigration de masse depuis quatre décennies.

    Le gouvernement turc finance à coup de millions d’euros la construction de mosquées dans le pays et demande aux musulmans de ne surtout pas s’intégrer et de conserver leur identité islamique. Par convoitise électorale, les politiciens ne réagissent pas.

    Certains autrichiens de souche n’acceptent pas la situation. Mais pour eux, leur pays a déjà capitulé face à l’offensive de l’islam.



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    De la souffrance des animaux à la tromperie des consommateurs : tout sur l'abattage rituel (halal, casher). Images choc d'abattoirs. jusqu'à 60% de la viande issue d'animaux abattus selon le rite musulman et plus de 70% de la viande issue du rite israëlite se retrouvent dans le circuit classique à l'insue des consommateurs (aucun etiquetage sur le mode d'abattage). Sans le savoir et surtout en Ile de France vous consommez halal et casher !

    Ames sensibles s’abstenir. Nous mangeons de cette viande sans le savoir...
     
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  • AVS (A Votre Service) est une société musulmane de contrôle et de certification des produits alimentaires halal.

    Dans cette vidéo tournée par AVS dans un abattoir de volailles (égorgées selon le rite islamique), le commentateur précise que les contrôleurs de la société inspectent la qualité de saignée de chaque volaille et les marquent AVS. Les volailles non marquées pour cause de saignée non validée suivent le circuit traditionnel (à 00mn 38s).


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  • Au Nigéria, les musulmans de la secte Boko Haram veulent imposer un état islamique radical par la violence et les assassinats.

    Depuis 2009, ils ont perpétré plus de 160 attentats suicides à la bombe et tué plus de 1000 personnes.

    Dans le sud du pays à majorité chrétienne, les musulmans tuent les fidèles, détruisent leurs maisons et brûlent les églises. Par ailleurs, les autorités du pays comme la police, l’armée et la justice comptent aujourd’hui des sympathisants de la secte, ce qui laisse un avenir très sombre pour ce pays le plus peuplé d’Afrique.

    Boko Haram veut dire ‘’musulmans engagés dans la propagation de la parole du prophète et dans la guerre sainte’’.


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